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Sommes-nous inclusifs ? – 1ère partie

Personnes en situation de handicap, hommes, femmes, seniors ou juniors, travailleurs issus des minorités, etc., tous sont porteurs d’une histoire et d’une expérience différentes !

C’est précisément sur la conjonction de ces différences que reposent la créativité et la capacité à faire émerger de nouvelles propositions de valeur. Dans un contexte de profonde évolution du rapport au travail, les entreprises les plus inclusives apparaissent aussi comme les plus compétitives.

L’inclusion, source de richesses et de compétitivité pour l’entreprise

Au-delà de la question des rémunérations, la faible représentativité des femmes dans les instances dirigeantes des entreprises continue de poser question. Certes, en France par exemple, la loi Copé-Zimmermann impose depuis 2017 aux conseils d’administration de compter au moins 40 % de femmes. Elles restent pourtant très minoritaires (aux alentours de 20 %) dans les Codir et les Comex. Sans compter qu’une seule entreprise du CAC 40 est aujourd’hui dirigée par une femme (Catherine McGregor, DG de Engie). La situation n’est pas plus reluisante dans les autres pays européens. Pour l’ensemble de l’Union européenne, seul 1 poste d’encadrement sur 3 serait occupé aujourd’hui par une femme. La proportion de femmes dans les conseils d’administration ne dépasse pas 27 %.

Cette situation relève d’autant plus de l’anomalie que selon le palmarès 2020 du baromètre Women Equity, les entreprises dirigées par des femmes affichent une croissance annuelle moyenne de 30 %. Un dynamisme confirmé par le cabinet Deloitte qui souligne dans son étude annuelle consacrée à l’inclusion que « les entreprises qui pratiquent une politique inclusive génèrent jusqu’à 30 % de chiffre d’affaires supplémentaire par salarié et une profitabilité supérieure à celle de leurs concurrents ».

Entreprise inclusive et environnement de travail

Pour favoriser l’intégration professionnelle de tous les profils, et parce que la difficulté à accepter la différence demeure un travers très humain, les politiques RH s’imposent comme les fers de lance de l’inclusion. Elles doivent être en mesure de répondre à la nécessité pour les entreprises de mieux prendre en compte la singularité de chacun des individus qui travaillent pour elles.

L’objectif est de créer un environnement de travail où la performance globale de l’organisation repose sur la diversité de ses membres et le sens que chacun trouve à son travail. C’est ainsi que se créeront les conditions du plein engagement de tous dans l’entreprise, et donc les conditions de l’inclusion. Pour y parvenir, il est essentiel que chaque collaborateur se sente utile et reconnu dans sa singularité. C’est une condition sine qua non d’une bonne qualité de vie au travail.

Notre prochaine lettre traitera des spécificités du processus inclusif à travers, entre autres, le recrutement.

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